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Analyses

  • Politique : le premier ministre Dabiré s’est octroyé le luxe d’un discours normal dans un contexte ANORMAL à l’hémicycle

    En février 2019, les Burkinabè avaient retenu les larmes de Christophe Dabiré devant les députés, lors de la Déclaration de politique générale (DPG). Il faut dire que les larmes étaient justifiées, tant la DPG de 2019 était teintée d’émotions. Les larmes et les mots choisis collaient au contexte difficile dans lequel le pays est plongé. En février 2021, les Burkinabè retiendront certainement la longue liste des réformes proposées par Christophe Dabiré. Une liste longue mais lisse. (...)

  • Bassolma Bazié, jusqu’au bout de la résistance !

    Jusqu’au drame ! Quand un leader s’assume, il frôle constamment le drame. Il est acculé et doit faire des choix. Soit il résiste, soit il capitule et se rend. Dans ce dernier cas, il ne lui reste qu’à se suicider. La situation dans laquelle se trouve nombre de militants depuis l’arrivée du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) au pouvoir les place sur une corde raide. De manière quasi insoupçonnée, du fait de la maîtrise des tenants du pouvoir du camouflage de la réalité. (...)

  • Monsieur le président, place aux actes !

    Jamais un pouvoir n’a autant pleurniché ! Victime auto-proclamée du terrorisme, des fonctionnaires, de l’incivisme, bref, ce régime s’est peu assumé face aux défis de la nation. Durant les cinq dernières années, il a soufflé la palme des conférences de presse et des menaces en l’air aux organisations de la société civile. Roch Marc Christian Kaboré, ses différents gouvernements et son Mouvement du peuple pour le progrès, au lieu de travailler durs étaient passés maîtres dans l’art d’aboyer (...)

  • Affaire Norbert Zongo : La persévérance pour que triomphe la vérité !

    Pour faire échec aux mots d’ordre de lutte qui ont suivi l’assassinat crapuleux du journaliste d’investigation Norbert Zongo, les actes de répression se sont succédé à profusion : assassinats, arrestations arbitraires, tortures, procès, rasages forcés, matraquages, gazages, expulsions, incendies et saccages de biens. Tous ceux qui se sont engagés sur le chemin du combat pour la vérité et la justice pour Norbert Zongo, ont vite rencontré le fer avec une longue liste de tentatives de (...)

  • Burkina Faso : Duperie par une classe politique en débandade

    Au lendemain des résultats provisoires du double scrutin présidentiel et législatif, si l’on posait la question de savoir si, la démocratie au Burkina est sortie grandie de l’épreuve, la réponse est absolument NON. Il ne serait pas de trop de soutenir qu’une frange des Burkinabè se sentent désabusés. Et il y a, à cela, deux raisons.
    La première est l’ampleur des problèmes matériels constatés le 22 novembre 2020, jour des scrutins. La Convention des organisations de la société civile pour (...)

  • Tribune : La Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples face au défi de la souveraineté des Etats (Nouhou Madani Diallo)

    La Souveraineté, « c’est un écran qui voile la réalité, il faut s’en débarrasser si l’on veut voir clair » (N. POLITIS in Les limitations de la souveraineté, page 10) « L’homme de bien situe la justice au – dessus de tout. » Confucius
    I. Introduction
    Créée par le Protocole dit de Ouagadougou adopté le 09 juin 1998 pour compléter « les fonctions de protection de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples a conférées à la Commission africaine des droits de l’homme et des (...)

  • Contentieux électoral : Attention aux braises qui couvent sous les cendres (Tribune de Yisso Bationo)

    Les candidats et militants sont gonflés à bloc dans la perspective des élections de novembre 2020. Du côté de la majorité tout comme de l’opposition, chacun croit fermement en ses chances de victoire. Les investitures de candidats ont déjà commencé. Elles se poursuivront les semaines à venir. C’est de bonne guerre. Si les uns et les autres semblent dans de bonnes dispositions d’esprit, tous les acteurs du processus électoral doivent prendre toutes les dispositions pour éviter des crises (...)

  • Situation nationale : Les Burkinabè doivent arrêter de se faire hara-kiri

    Le Burkina Faso n’est pas un accident de l’histoire. Les Burkinabè ne sont pas les damnés de la terre. Le pays est certes confronté à d’immenses difficultés. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faille jeter le bébé avec l’eau du bain. En dépit de toutes les prévisions apocalyptiques, le Burkina continue sa marche radieuse. Les lendemains seront encore enchanteurs pour peu que chacun s’assume et fasse preuve de patriotisme. Les élections de novembre 2020 en donnent justement l’occasion. (...)

  • Burkina Faso : Relever le défi de la sécurisation du processus électoral

    Au Burkina Faso, les élections présidentielle et législatives doivent se tenir à bonne date ; c’est à dire le 22 novembre 2020. Sauf à vouloir précipiter le pays dans le chaos, aucune raison objective ne saurait remettre en cause cette échéance. Il est quand même surprenant que des enseignants d’université, faisant sans doute preuve d’activisme politique, en viennent aujourd’hui à rejeter la tenue de ces scrutins à cette date sous le prétexte que certaines parties du territoire (...)

  • Lutte contre le terrorisme : La difficile équation du recours à l’armée

    Faut-il déployer l’armée contre des groupes terroristes ou simplement avoir recours à des unités mobiles légères s’il s’avère que l’ennemi ne provient pas de l’extérieur mais de l’intérieur même de la maison ? Est-il bien indiqué d’utiliser le feu militaire collectif contre ses propres citoyens ? Ces questions sont complexes. Nous en convenons. Au Burkina Faso, au Mali, et au Niger, le débat fait rage. Ces pays semblent avoir opté d’engager leurs armées dans une guerre asymétrique alors (...)