Burkina, mardi 27 décembre 2016. Le Ministère de la Communication et des Relations avec le parlement a tenu à Ouagadougou, sa deuxième session du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année 2016. Cette rencontre entre les acteurs de la communication et de l’information, sera l’occasion pour ces derniers de faire le bilan des activités menées en 2016 et de réfléchir sur celles à mettre en exécution pour le compte de l’année 2017.

C’est la deuxième session du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de l’année 2016, que le Ministère de la Communication et des Relations avec le parlement a tenu ce mardi 27 décembre 2016. Selon le ministre en charge de la

communication Rémi Fulgence Dandjinou, le CASEM est l’instance suprême du département ministériel dont il a la charge, habileté à faire le bilan de l’exécution des missions qui lui sont confiées, à discuter des méthodes et des approches et surtout adopter de meilleures stratégies pour améliorer ses performances. Le patron en charge de la communication a estimé qu’au terme de l’année 2016, il est opportun de marquer un arrêt pour évaluer les programmes d’activités exécutées afin de faire ressortir les acquis et les insuffisances. Pour lui, c’est l’esprit qui sous tend la tenue de ce CASEM placé sous le thème : « Développement du secteur de l’information et de la communication : défis et perspectives dans le cadre du PNDES ». Il s’agit d’un thème qui est d’actualité et qui est pertinent a-t-il souligné. Cela permettra aux participants de discuter des préoccupations du département à travers des échanges sur les plans stratégiques de développement, de partager des points de vue et d’examiner les perspectives dans le cadre du PNDES a-t-il relevé. Au regard de l’importance que revêt cette rencontre pour le département dont il est le premier responsable, Rémi Fulgence Dandjinou a invité les participants à des échanges francs et fructueux. Il déclare à cet effet : « Je suis persuadé que le sérieux, la hauteur de vue et l’ouverture d’esprit qui ont toujours prévalu dans les échanges, seront encore une fois de plus nos références premières au cours de ce CASEM ». En attendant la fin des travaux, il a rappelé à ses collaborateurs que le présent CASEM leur sera l’occasion de s’accorder sur les actions à entreprendre pour la dynamisation du secteur de la communication.

Thierry KABORE
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